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Situé, à l’angle du Boulevard Pasteur et de la rue Victor Hugo, ce calvaire représente les derniers moments du Christ en croix avec, à sa droite, Marie, sa mère et à sa gauche son disciple Jean.

 

Peu de temps avant sa mort, il prononça ces paroles : « Femme, voici ton Fils », et à son disciple : « Fils, voici ta Mère ».

 

Ce calvaire se trouve à côté de l’ancienne mare Serpette que les anciens neslois ont en mémoire. En effet lors de grandes pluies, elle avait la désagréable habitude de déborder et d’inonder la chaussée de la rue Victor Hugo.

 

Aujourd’hui, la mare a totalement disparu et le parc fleuri met ce coin de rue en valeur.

Calvaire, rue Victor Hugo

Situé, à l’extrémité du Boulevard Pasteur, le calvaire Saint Marcoult a perdu malheureusement de sa valeur. Il fut longtemps au sommet d’une butte de terre entourée d’arbres.

 

L’aménagement du carrefour de la route de Ham, de la route de Rouy et du Boulevard Pasteur, fit disparaître cette butte, les arbres et malheureusement la lourde pierre qui mettait la croix en valeur.

 

Cette croix marque un évènement historique très ancien puisque c’est en 1101, que les reliques de St Marcoult, conservées à Laon, furent apportées en refuge à Péronne pour échapper aux dépravations de Thomas de Marle. Elles furent d'abord transférées à Noyon, de là à Ham puis, avant Péronne, à Nesle.

 

A leur arrivée de Ham, le clergé de Nesle alla les recevoir en procession. Elles furent déposées, à l'entrée de la ville, sur une butte de terre. A cet emplacement, on éleva la Croix St Marcoult. Rappelons qu'à cette époque, cette croix était loin en dehors des limites de la ville fortifiée.

Calvaire St Marcoult

Situé au centre du cimetière, dans l’alignement de l’allée centrale se dresse le grand calvaire. C’est en février 1804 que la ville de Nesle envisagea l’acquisition du terrain situé près le la chapelle Notre-Dame de Bon Secours pour y créer le cimetière communal. L’année suivante on transféra les dépouilles des cimetières St Pierre et St Léonard dans le nouveau cimetière. En mars 1878, la ville acheta le terrain voisin pour envisager l’agrandissement du cimetière.

 

C’est en 1908 que le dépositoire fut installé, le monument portant l’écusson des armes de la ville. Cette partie du cimetière regroupe les tombes des plus anciennes familles de Nesle qui ont inscrits leurs noms dans la vie nesloise.

 

Juste avant le calvaire, sur la gauche, se trouvent, entourées de buis, les tombes des anciennes religieuses de St Vincent de Paul qui s’occupaient de l’Hospice ainsi que la tombe des anciens prêtres tels que l’Abbé Couvreur et l’Abbé Carrette.

Calvaire du cimetière

Situé à l’extrémité de la rue d’Herly, juste avant la rocade, le calvaire se dresse sous les arbres.

 

La Révolution française qui avait fait disparaître la plupart des sites religieux de la ville avait supprimé également ce calvaire. Le 14 septembre 1805, des habitants du Fg St Léonard demandèrent le rétablissement du calvaire.

Calvaire rue d'Herly

Ce calvaire n’est connu que des promeneurs car il se dresse à la croisée du chemin de Billancourt, du chemin Saint Georges et à l’extrémité de la rue de Billancourt.

 

Durant de nombreuses années il garda à ses côtés des restes de pierres tombales abandonnées en guise de bancs. Ces pierres ont heureusement été récupérées et déposées dans la nef de la Collégiale, devant les fonds baptismaux.

Calvaire Saint Georges
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